DES BRETONS AUX ANTILLES

DES BRETONS AUX ANTILLES
DES BRETONS AUX ANTILLES...

COVID LONG

 Retour de chez le neurologue. 

Névralgie d'Arnold. 

C'est rien m'a t'il dit. Ça partira et ça reviendra. Un traitement ? Pas besoin. Faites du kiné on verra. 

Fasciculations sur tout le corps?

 On verra ça la prochaine fois. 

Sensation de fourmillements jambes, mains.

 Pas grave. On verra ça plus tard. 

Sensation de bébête qui bouge sous la peau au niveau de l'aile du nez et sur la bouche. 

C'est l'angoisse! 

Brûlure oesophage et estomac. 

C'est l'angoisse aussi. 

Je sais grâce aux examens que j'ai déjà faits que je n'ai pas de maladie mortelle en soi ! Mais j'aimerais que quelqu'un m'écoute, me prenne au sérieux, que j'ai enfin un mot mis sur mes maux! 


le prisonnier

 




 l’episode de fin est loufoque....De mémoire,le numéro 6 trouve dans les sous-sol du village tout un tas de pariats rejetés par les gens du village et monte avec eux une révolte, au cours de laquelle il découvre que le fameux numéro 1 qu’on ne voit jamais est en fait un ordinateur. Il détruit cet ordinateur et tous se sauvent....on les voit sur la remorque d’un camion qui s’arrête de temps en temps pour les déposer chez eux.C’est ainsi que le numéro 6 est déposé en dernier devant son appartement à Londres où sa voiture l’attend....Mais hélas dans les dernières secondes du film on voit que la porte de l’appartement du prisonnier s’ouvre automatiquement comme celle de son logement au village.....ce qui laisse supposer que finalement le numéro 6 est toujours prisonnier,mais à plus grande échelle (celle de Londres.....ou pire,celle du pays tout entier)...D’ailleurs,celui qui y entre est le nain qu’il y avait au village.Le prisonnier,lui,par avec sa voiture (la lotus seven) mais on remarque que passe près de lui dans la rue la grande voiture noire qui ressemble à un corbillard (celle-la même qui avait transporté les gars qui avaient suivi et gazé le prisonnier au début de la série)

I😉😉

 

"La sensation d’être pionnier à bien des égards" : comment l’Arkéa Ultim Challenge bouscule les règles de la course au large

Six skippeurs partent de Brest, dimanche, pour un tour du monde en solitaire à bord de leur trimaran de 32 mètres de long maximum (Ultim) dans le cadre de l'Arkéa Ultim Challenge. Une nouvelle régate avec des spécificités inédites.
Article rédigé parOthélie Brionfranceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié 
Temps de lecture : 4 min
Les Ultims de Thomas Coville (Sodebo), Charles Caudrelier (Edmond de Rothschild), Anthony Marchand (Actual) et Tom Laperche (SVR Lazartigue) lors du départ de la Transat Jacques Vabre, au Havre, le 29 octobre 2023. (LOIC VENANCE / AFP)

ARKEA

 ARKEA 


Après un départ très conservateur à plusieurs centaines de mètres de la ligne, la suite sera plus brutale. Une explication entre six trimarans volants qui ont choisi l’avant-rade comme piste de décollage. Dès le coup de canon, la flotte paisible des vedettes accompagnateurs se transforme en cavalcade furieuse. Les vedettes surpuissantes partent à la poursuite des Ultim qui, une fois en vol à plus de 25 nœuds, sont déjà trop rapides pour être suivis depuis la mer. Seul les sept hélicoptères (oui sept !) sont capables de capter les dernières images, avant de les laisser partir pour le grand large.



Les plaisanciers étaient nombreux sur l’eau, pour accompagner la parade des trimarans dans le goulet de Brest. | THIBAUD VAERMANen ple

Arkéa Ultim Challenge – Brest : la cartographie