DES BRETONS AUX ANTILLES

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DES BRETONS AUX ANTILLES...

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Avec le nouvel album téléchargeable gratuitement de Yasiin Gaye: The Return. Regroupement de voix emblématiques tel que Marvin Gaye avec le rappeur Yasiin Bey (anciennement Mos Def). Le tout sou-poudré par du Chuck Berry, The Temptations, et Talib Kweli, et la fusion soul-rap est soudainement magique.

A diffuser sans se priver : téléchargement gratuit ici. Le tout avec une pochette tellement 2014 ! et tellement 1990 à la fois !! Un vrai back to the past 2014 assumé dans le son et l'image !
 







Son au maximum, superbe !!












Quand vous aurez vu cette vidéo, ci-dessous,  
Vous serez obligé d’’acheter le même !!










CATHERINE DENEUVE EN BODY
 





Frédéric Mitterrand :
"Je paie très cher mon engagement auprès de Sarkozy"

L'ex-ministre de la Culture, qui met fin à sa chronique sur France Inter, accuse Aurélie Filippetti d'avoir tout fait pour qu'il en arrive là.






L'ex-ministre de la Culture Frédéric Mitterrand s'est montré un peu plus vindicatif quant à l'arrêt de son entretien culturel "Jour de Fred", tous les jours depuis septembre sur France Inter.
L'ex-ministre de la Culture Frédéric Mitterrand s'est montré un peu plus vindicatif quant à l'arrêt de son entretien culturel "Jour de Fred", tous les jours depuis septembre sur France Inter.
         

"Désormais, je préfère me consacrer à des projets plus personnels", avait indiqué Frédéric Mitterrand dans un premier temps. Mais, dans une interview au Monde parue ce vendredi, l'ex-ministre de la Culture de Nicolas Sarkozy s'est montré un peu plus vindicatif quant à l'arrêt, à compter de juin, de son entretien culturel Jour de Fred, tous les jours depuis huit mois sur France Inter.

"Je paie très cher mon engagement auprès de Nicolas Sarkozy"

Derrière cette décision "mûrement réfléchie" en effet, Mitterrand estime qu'il "paye très cher son engagement auprès de Nicolas Sarkozy". "Depuis mon arrivée sur France Inter qui lui a fortement déplu, Aurélie Filippetti me poursuit d'une animosité indigne de sa fonction", assure-t-il. Une référence aux présumés appels téléphoniques de la ministre de la Culture à Jean-Luc Hees, le P-DG de Radio France, pour lui demander de revenir sur son choix lors du lancement de l'émission en septembre dernier.
"Je remercie Jean-Luc Hees et Philippe Val de ne pas avoir cédé et montré leur indépendance", souligne ce dernier.

"Les chaînes de télévision publiques ont peur de se faire taper sur les doigts"

"Mon nom fait peur dans les chaînes de télévision du service public où j'ai beaucoup de mal à être reçu pour proposer des projets", raconte-t-il. "Ils maquillent leur décision sous des raisons budgétaires, mais ils ont surtout peur de se faire taper sur les doigts", pointe Frédéric Mitterrand.
Avant d'ajouter : "La politique, c'est l'enfer, et ils ne sont pas près de me revoir."

"Je constate que le service public recrute d'anciens membres du gouvernement"

de démentir toute intervention auprès de la direction de Radio France. "Je m'étonne qu'il y ait encore des gens pour remettre en question mon attachement à l'indépendance de l'audiovisuel public", avait-elle alors plaidé.
Auprès du Canard enchaîné, l'actuelle ministre de la Culture avait concédé dès septembre avoir appelé Jean-Luc Hees, pour "avoir confirmation de son arrivée"... "Je constate que le service public recrute d'anciens membres du gouvernement. J'ai trouvé, à titre personnel, que c'était d'une rare inélégance", avait jugé Aurélie Filippetti.

















[EXCLUSIVITÉ] Découvrez le clip de "Change" de Mokaiesh

                                       



Quand Mokaiesh chante, c'est pour s'impliquer. Avec du souffle et du courage. Dans des textes enlevés, osés, subversifs plein de fougue et d'énergie.

D'abord en groupe et en mode rock (2007). Puis en artiste solo avec l'album Du rouge et des passions (2011). L'auteur de Mon époque et de Communiste s'autorise à porter un regard sur la société et à s'engager sans pour autant céder à la caricature d'un aficionado du Che. Juste en citoyen appelant au sursaut face à l'indifférence généralisée.



Son nouvel album, qui sortira au printemps, est né sur les rives du Rio de la Plata. Cyril Mokaiesh ne connaissait pas l'Argentine mais il aimait sa culture, son patrimoine littéraire et poétique. A Buenos Aires, il découvre une ville chaleureuse, bruyante, "aguicheuse". C’est là, où il séjourne trois longs mois, sur sa guitare, loin des siens, qu’il compose l’essentiel du nouvel album. De cet exil, jaillissent des chansons heureuses et insouciantes... et d’autres plus sombres marquées par l’équilibre précaire de la vie sentimentale et par les tourments du désamour ou de la séparation.






VIDEOGAME LANA DEL REY


Etienne Daho

Camille "allez allez"



Barbara "l'aigle noir"



Johny



Le pianiste turc Fazil Say est un artiste des extrêmes comme on en rencontre peu. Compositeur se jouant volontiers les frontières établies, il est aussi un soliste virtuose au tempérament bouillonnant et affirmé. Riches d’un horizon musical sans limites, ses interprétations engagées, le plus souvent hors des sentiers battus, ne laissent personne indifférent.







  



 La scène est comme une seconde nature pour Fazil Say. Ses concerts sont de véritables explosions de spontanéité. Quand il n’improvise pas sur des thèmes folkloriques turcs, il donne un coup de swing à Mozart, compositeur avec lequel il entretient un dialogue très personnel. Quand Fazil Say est au piano, on a l’impression que les 88 touches ne lui suffisent pas pour exprimer toutes ses découvertes et inventions musicales.

Ses compositions où il mêle le jazz à la musique classique et orientale seront au cœur de la  « Nuit Fazil Say ». Le programme débute avec la première allemande de sa « Universe Symphony »,  suivie d’un concerto chatoyant pour nay, la flûte turque. Enfin, place à « Istanbul Symphony », une vibrante déclaration d’amour à la métropole du Bosphore. Artiste en résidence du Frankfurt Radio Symphony Orchestra cette saison, Fazil Say collabore intensément avec cette formation : cinq projets donnent à entendre le vaste registre d’un travail fascinant.


Avec onze sélections, "Gravity" a pris la tête des nominations aux Bafta, récompenses britanniques du cinéma qui ont aussi retenu "La Vie d'Adèle" parmi les films en langue étrangère, ont annoncé mercredi les organisateurs.
Le film à grand spectacle du Mexicain Alfonso Cuaron, dans lequel George Clooney et Sandra Bullock incarnent deux astronautes en perdition dans l'espace, est nommé notamment dans les catégories de meilleure actrice, meilleur réalisateur et meilleur film.
Il devance ainsi d'une nomination "12 Years a Slave" du Britannique Steve McQueen, drame historique sur l'esclavage et l'un des films favoris pour les Oscars, qui récolte 10 sélections, dont celle de meilleur acteur pour Chiwetel Ejiofor.
L'acteur, qui a grandi à Londres, a "exprimé son immense fierté de voir la reconnaissance acquise par ce film à travers le monde". "C'est bien sûr tout spécial de recevoir une nomination pour les Bafta au pays", a-t-il commenté.
Le thriller "American Bluff" ("American Hustle" pour son titre original) mettant aux prises un couple de malfrats et le FBI dans les années 1970, avec Jennifer Lawrence et Christian Bale, est également sélectionné à dix reprises.
Côté français, "La Vie d'Adèle" ("Blue is the Warmest Colour" en version anglaise) d'Abdellatif Kechiche est en lice à deux titres pour ces récompenses, qui seront remises le 16 février à Londres.
Le film, Palme d'or à Cannes et sélectionné aux Golden Globes, a été retenu par l'académie britannique dans la catégorie "film en langue non anglaise".
Il sera en compétition avec "La Grande Bellezza" de l'Italien Paolo Sorrentino, "The Act of Killing" de Joshua Oppenheimer, "Wadjda" de la Saoudienne Haifaa Al-Mansour et "Metro Manila" de Sean Ellis.
L'actrice française Léa Seydoux a par ailleurs été nommée dans la catégorie meilleur espoir, annoncée lundi, aux côtés notamment de la Kényane Lupita Nyong'o ("12 Years a Slave"). Cette récompense sera décernée d'après un vote du public.






Anne Queffélec figure parmi les pianistes les plus aimés de sa génération. Fille et sœur d’écrivains, passionnée elle-même de littérature, c’est vers la musique qu’elle se tourne dès son plus jeune âge. Son récent CD, Satie & Compagnie est paru chez Mirare pour La Folle Journée de Nantes 2013, elle nous en dit l'esprit :
– « Pourquoi ne veut-il pas me laisser une toute petite place dans son ombre. Je n’ai que faire du soleil », s’écriait Erik Satie à propos de l’astre Debussy qu’il admirait éperdument...

© Gibrat / Mirare - 2013
Satie, ce marginal paradoxal, à la fois misanthrope et sociable, unique membre de son «Eglise métropolitaine d’Art et de Jésus conducteur», aurait été bien étonné de se découvrir choyé par la postérité, devenu immensément populaire bien au-delà du public mélomane traditionnel, à partir de quelques pièces circulaires, simples comme des chansons « à l’immobilité rêveuse» dit Cortot. Et qu’à son tour, il ferait de l’ombre à plusieurs de ses magnifiques contemporains tels Ferroud, Dupont, Hahn, Schmitt, Koechlin… C’est pourquoi il m’a semblé juste en composant ce disque, d’associer aux célébrissimes Gnossiennes et Gymnopédies, quelques unes de leurs pièces, méconnues non seulement du grand public mais aussi des pianistes, et qui ont été pour moi de véritables révélations. Elles participent, chacune dans leur poésie singulière, de ce que l’on a coutume d’appeler le génie français, concision, délicatesse, clarté, retenue, refus de la boursouflure, rien en elles «qui pèse ou qui pose».


 Anne Queffelec


Erik Satie : La Belle excentrique : Valse du mystérieux baiser dans l'oeil
Anne Queffélec, Gaspard Dehaene, piano à 4 mains
MIRARE MIR 189 (cb 3 760127 221890)
Poitiers, VI/2012 p c 2012
titre du CD : Satie & Compagnie

Erik Satie : Embryons desséchés : 1 - d'Holothurie 






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Une pure merveille... 






Les gens font la queue pendant des heures au Musée de Shanghai pour l'admirer !


Il a été peint vers 1085-1145, pendant la Dynastie des Song du nord, puis restauré pendant la Dynastie Qing.
Il a été exposé dans le Musée d'Art de Hong-Kong l'année dernière. Ce tableau mesure 5,28 mètres de long et seulement ... 25 centimètres de hauteur  
CLIQUEZ SUR

(ne pas oublier de mettre le son !) 

Positionner le curseur un peu à gauche du centre de l'écran : le tableau défile lentement pour donner le temps de découvrir tous les détails jusqu'à l'extrémité gauche du tableau. Pour arrêter le défilement, repositionner le curseur juste au centre du tableau. Pour revenir en arrière, il suffit de placer le curseur à droite du centre. Contrôle de la vitesse : plus on s'éloigne (à gauche ou à droite) du centre, plus le défilement est rapide.
Lorsque l'on voit apparaître un cadre blanc, double-cliquer dessus et, patience, on voit quelque chose de fabuleux (une merveilleuse prouesse technique qui allie l'art du XIe siècle chinois à celui du XXIe siècle, pour notre très grand plaisir). Il y a 3 cadres blancs.




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L' AVE MARIA à la flûte de pan
 
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