DES BRETONS AUX ANTILLES

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DES BRETONS AUX ANTILLES...


ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?

LE CAPITAIINE HADDOCK


Le capitaine Haddock est le meilleur ami de Tintin depuis l'épisode du Crabe aux pinces d'or (1941), dans lequel ils se rencontrent. On sait qu'il a navigué durant plus de vingt ans avec son ami, le capitaine Chester, avant de devenir commandant du Karaboudjan où son alcoolisme le met à la merci de son lieutenant Allan Thompson. C'est Tintin qui viendra l'en sortir : plus jamais les deux amis ne se quitteront. De sa famille, on sait qu'il est le descendant du chevalier François de Hadoque, capitaine de marine sous Louis XIV. Moulinsart se trouve pourtant clairement en Belgique, puisque proche de Bruxelles, comme Hergé le sous-entend dans Le Secret de la Licorne et Le Trésor de Rackham le Rouge — ceci est aussi prouvé par les uniformes des gendarmes dans l'Affaire Tournesol. Or, Louis XIV, qui récompensa le Chevalier de Hadoque avec son titre et son château, n'a rien conquis de plus septentrional que l'actuelle frontière nord de la France... De plus, ce château représente le château de Cheverny, au sud de Blois (Loir-et-Cher).
Quant à l'origine du nom du capitaine Haddock, selon Philippe Goddin, auteur de Chronologie d'une œuvre, elle est inspirée par Le Capitaine Craddock, film franco-allemand de Hanns Schwarz et Max de Vaucorbeil (1931), dont Hergé était un grand fan. La partie « Haddock » vient aussi du fait qu'Hergé aimait l'aiglefin fumé, souvent appelé haddock.
Pourtant, le nom Haddock est un nom réel, puisqu'un des officiers du RMS Titanic s'appelait ainsi (Mr.Herbert James Haddock, qui dans la liste d'équipage publiée sur Encyclopaedia Titanica, parait mentionné sous l'identité "captain")
Son prénom, Archibald, sera mentionné pour la première fois dans Tintin et les Picaros, le dernier album achevé des Aventures de Tintin et Milou. Il sera à nouveau mentionné dans un album inachevé, Tintin et l'Alph-Art.
Haddock possède un caractère pour le moins expressif. C'est un impulsif qui se laisse entraîner par son enthousiasme ou son découragement. Il est très colérique, mais ses emportements sont aussi brefs que spectaculaires. Malgré son caractère bourru, c'est un homme très sensible. Il éprouve une profonde amitié envers Tintin, pour qui il n'hésiterait pas à donner sa vie, et est très attaché au professeur Tournesol.
Le grand vice de Haddock est son alcoolisme. Au tout début, il n'est qu'une loque humaine. Au contact de Tintin, le problème diminuera pour devenir, si l'on peut dire, un penchant. Il présidera une ligue anti-alcoolique dans l'Étoile mystérieuse. C'est un grand amateur de whisky, surtout de la marque Loch Lomond. Haddock fait aussi grande consommation de tabac et on le voit bien souvent pipe à la bouche. Durant toute la série, il apparaît la plupart du temps habillé en marin, avec un pantalon noir, son pull bleu marqué d'une ancre et sa casquette de marin.
On ignore l'âge exact du capitaine Haddock. Si sa barbe le vieillit, ses exploits athlétiques (au Tibet, sur la Lune, et autres) montrent qu'il est plutôt dans la force de l'âge. S'il semble être à la retraite, c'est que c'est un rentier à l'abri du besoin après avoir hérité de son aïeul. D'ailleurs, comme tous les personnages de la série, il n'est pas soumis au vieillissement, alors que le monde extérieur évolue de façon plutôt conforme au monde réel (selon la date de parution de l'album).
À partir de la dernière page de l'album le Trésor de Rackham le Rouge, Haddock réside au château de Moulinsart, avec son valet de chambre Nestor et se verrait bien en châtelain respecté dans les Sept Boules de cristal, il porte alors un monocle, une culotte de cheval et des bottes. Mais il retrouvera vite sa casquette et son pull marin à col roulé et ancre de marine, les seuls vêtements dans lesquels il se sent lui-même.
Comme Tintin, Haddock est célibataire. Les personnages féminins sont le plus souvent secondaires dans la série, La Castafiore en étant le caractère le plus remarquable. Des journalistes de Paris-Flash imaginent des fiançailles entre le capitaine et la cantatrice, dans Les Bijoux de la Castafiore, mais à la fin de l'album Haddock et Moulinsart retrouvent leur tranquillité.

Bien qu'il ne semble pas afficher une culture générale des plus étendues, même s'il peut réciter par cœur une strophe d'un poème de Lamartine, Le Lac, dans Le Trésor de Rackham le Rouge (« Un soir, t'en souvient-il, nous voguions en silence... »), Haddock s'y connaît passablement en musique et s'intéresse à l'histoire, surtout quand elle se rapporte à celle de son ancêtre. Cependant, c'est son registre d'insultes tirées de tous les domaines de la connaissance qui est impressionnant. C'est d'ailleurs l'élément qui le caractérise le plus. Outre les « Mille sabords ! » et dérivés ou le « Tonnerre de Brest ! », on en dénombre pas moins de 220, sans compter les « espèce de... », « bande de... » et « bougre de... ». À noter que la plupart des expressions qu'il utilise ne sont pas de véritables insultes dans la langue courante (Sapajou, Bachi-bouzouk, phlébotome, logarithme...). La loi sur les publications destinées à la jeunesse ne permettait pas un langage grossier ; or un marin au long cours étant plus crédible avec un langage coloré, Hergé a donc employé ce subterfuge.
La tendance du Capitaine Haddock à s'emporter verbalement aurait été inspirée à Hergé par son frère Paul Rémi, militaire au vocabulaire souvent corsé.
Un éclairage nouveau sur l'origine de ces insultes a été apporté par Émile Brami, auteur d'une biographie de Louis-Ferdinand Céline. Il estime, dans une interview donnée au magazine Lire (juillet-août 2004), qu'Hergé se serait inspiré du pamphlet antisémite de Céline Bagatelles pour un massacre, publié en 1938, pour créer les jurons du capitaine. La date correspond assez bien et, surtout, Émile Brami a trouvé dans l'ouvrage de Céline un certain nombre d'insultes reprises par Haddock dans Le Crabe aux pinces d'or, par exemple « ornithorynque » (écrit « ornithorynx » par Céline), ou encore « aztèque », « noix de coco » et « iconoclaste ». L'hypothèse ne fait pas l'unanimité chez les tintinophiles.

L AGE DU CAPITAINE









(1841) Gustave Flaubert, dans une lettre envoyée à sa sœur Caroline en 1843, pose le problème de « l’âge du capitaine » de cette façon [1] :
«
Puisque tu fais de la géométrie et de la trigonométrie, je vais te donner un problème : Un navire est en mer, il est parti de Boston chargé de coton, il jauge 200 tonneaux. Il fait voile vers le Havre, le grand mât est cassé, il y a un mousse sur le gaillard d’avant, les passagers sont au nombre de douze, le vent souffle N.-E.-E., l’horloge marque 3 heures un quart d’après-midi, on est au mois de mai… On demande l’âge du capitaine ?
»
 (Gustave Flaubert, Correspondance [archive], première série (1830–1850), G. Charpentier et Cie, Éditeurs, Paris, 1887)
Cet énoncé ne contient aucune donnée susceptible de dégager une réponse. On notera également que la direction cardinale donnée (« N.-E.-E. ») n’existe pas : il aurait plutôt fallu donner ENE ou NNE ou peut-être même NE¼E.

Locution nominale

l’âge du capitaine /l‿ɑʒ dy ka.pi.tɛn/ masculin
  1. (Par plaisanterie) Allusion à un problème énoncé de manière à n’avoir aucune réponse mathématique ou logique.
    • Problème. — « Étant donné un navire de 80 pieds de long sur 26 pieds de large, jaugeant 200 tonneaux, monté par dix-sept hommes d’équipage, et n’ayant plus que quinze jours avant d’arriver au port, quel est l’âge du capitaine ?  " On avait posé cette question à M. C — Eh bien ! répondit-il après un instant de réflexion, votre capitaine a trente-neuf ans, onze mois et quinze jours. " (Jean-Baptiste-Antoine Ferland, Louis Joseph Cyprien Fiset, Antoine Gérin-Lajoie, Le Foyer canadien, tome 4, 1866)
    • « Sur un bateau, il y a 26 moutons et 10 chèvres. Quel est l’âge du capitaine ? » À ce problème, posé à 171 élèves de cours élémentaire, 127 ont répondu en additionnant ou soustrayant les nombres donnés. (Mohamad K. Salhab, Éducation et évolution des savoirs scientifiques : Une réflexion libanaise, L’Harmattan, 2007)

Traductions

Traductions manquantes
 

Bibliographie




Le Capitaine Haddock


Le capitaine Haddock est le meilleur ami de Tintin depuis l'épisode du Crabe aux pinces d'or (1941), dans lequel ils se rencontrent. On sait qu'il a navigué durant plus de vingt ans avec son ami, le capitaine Chester, avant de devenir commandant du Karaboudjan où son alcoolisme le met à la merci de son lieutenant Allan Thompson. C'est Tintin qui viendra l'en sortir : plus jamais les deux amis ne se quitteront. De sa famille, on sait qu'il est le descendant du chevalier François de Hadoque, capitaine de marine sous Louis XIV. Moulinsart se trouve pourtant clairement en Belgique, puisque proche de Bruxelles, comme Hergé le sous-entend dans Le Secret de la Licorne et Le Trésor de Rackham le Rouge — ceci est aussi prouvé par les uniformes des gendarmes dans l'Affaire Tournesol. Or, Louis XIV, qui récompensa le Chevalier de Hadoque avec son titre et son château, n'a rien conquis de plus septentrional que l'actuelle frontière nord de la France... De plus, ce château représente le château de Cheverny, au sud de Blois (Loir-et-Cher).
Quant à l'origine du nom du capitaine Haddock, selon Philippe Goddin, auteur de Chronologie d'une œuvre, elle est inspirée par Le Capitaine Craddock, film franco-allemand de Hanns Schwarz et Max de Vaucorbeil (1931), dont Hergé était un grand fan. La partie « Haddock » vient aussi du fait qu'Hergé aimait l'aiglefin fumé, souvent appelé haddock.
Pourtant, le nom Haddock est un nom réel, puisqu'un des officiers du RMS Titanic s'appelait ainsi (Mr.Herbert James Haddock, qui dans la liste d'équipage publiée sur Encyclopaedia Titanica, parait mentionné sous l'identité "captain")
Son prénom, Archibald, sera mentionné pour la première fois dans Tintin et les Picaros, le dernier album achevé des Aventures de Tintin et Milou. Il sera à nouveau mentionné dans un album inachevé, Tintin et l'Alph-Art.
Haddock possède un caractère pour le moins expressif. C'est un impulsif qui se laisse entraîner par son enthousiasme ou son découragement. Il est très colérique, mais ses emportements sont aussi brefs que spectaculaires. Malgré son caractère bourru, c'est un homme très sensible. Il éprouve une profonde amitié envers Tintin, pour qui il n'hésiterait pas à donner sa vie, et est très attaché au professeur Tournesol.
Le grand vice de Haddock est son alcoolisme. Au tout début, il n'est qu'une loque humaine. Au contact de Tintin, le problème diminuera pour devenir, si l'on peut dire, un penchant. Il présidera une ligue anti-alcoolique dans l'Étoile mystérieuse. C'est un grand amateur de whisky, surtout de la marque Loch Lomond. Haddock fait aussi grande consommation de tabac et on le voit bien souvent pipe à la bouche. Durant toute la série, il apparaît la plupart du temps habillé en marin, avec un pantalon noir, son pull bleu marqué d'une ancre et sa casquette de marin.
On ignore l'âge exact du capitaine Haddock. Si sa barbe le vieillit, ses exploits athlétiques (au Tibet, sur la Lune, et autres) montrent qu'il est plutôt dans la force de l'âge. S'il semble être à la retraite, c'est que c'est un rentier à l'abri du besoin après avoir hérité de son aïeul. D'ailleurs, comme tous les personnages de la série, il n'est pas soumis au vieillissement, alors que le monde extérieur évolue de façon plutôt conforme au monde réel (selon la date de parution de l'album).
À partir de la dernière page de l'album le Trésor de Rackham le Rouge, Haddock réside au château de Moulinsart, avec son valet de chambre Nestor et se verrait bien en châtelain respecté dans les Sept Boules de cristal, il porte alors un monocle, une culotte de cheval et des bottes. Mais il retrouvera vite sa casquette et son pull marin à col roulé et ancre de marine, les seuls vêtements dans lesquels il se sent lui-même.
Comme Tintin, Haddock est célibataire. Les personnages féminins sont le plus souvent secondaires dans la série, La Castafiore en étant le caractère le plus remarquable. Des journalistes de Paris-Flash imaginent des fiançailles entre le capitaine et la cantatrice, dans Les Bijoux de la Castafiore, mais à la fin de l'album Haddock et Moulinsart retrouvent leur tranquillité.

Bien qu'il ne semble pas afficher une culture générale des plus étendues, même s'il peut réciter par cœur une strophe d'un poème de Lamartine, Le Lac, dans Le Trésor de Rackham le Rouge (« Un soir, t'en souvient-il, nous voguions en silence... »), Haddock s'y connaît passablement en musique et s'intéresse à l'histoire, surtout quand elle se rapporte à celle de son ancêtre. Cependant, c'est son registre d'insultes tirées de tous les domaines de la connaissance qui est impressionnant. C'est d'ailleurs l'élément qui le caractérise le plus. Outre les « Mille sabords ! » et dérivés ou le « Tonnerre de Brest ! », on en dénombre pas moins de 220, sans compter les « espèce de... », « bande de... » et « bougre de... ». À noter que la plupart des expressions qu'il utilise ne sont pas de véritables insultes dans la langue courante (Sapajou, Bachi-bouzouk, phlébotome, logarithme...). La loi sur les publications destinées à la jeunesse ne permettait pas un langage grossier ; or un marin au long cours étant plus crédible avec un langage coloré, Hergé a donc employé ce subterfuge.
La tendance du Capitaine Haddock à s'emporter verbalement aurait été inspirée à Hergé par son frère Paul Rémi, militaire au vocabulaire souvent corsé.
Un éclairage nouveau sur l'origine de ces insultes a été apporté par Émile Brami, auteur d'une biographie de Louis-Ferdinand Céline. Il estime, dans une interview donnée au magazine Lire (juillet-août 2004), qu'Hergé se serait inspiré du pamphlet antisémite de Céline Bagatelles pour un massacre, publié en 1938, pour créer les jurons du capitaine. La date correspond assez bien et, surtout, Émile Brami a trouvé dans l'ouvrage de Céline un certain nombre d'insultes reprises par Haddock dans Le Crabe aux pinces d'or, par exemple « ornithorynque » (écrit « ornithorynx » par Céline), ou encore « aztèque », « noix de coco » et « iconoclaste ». L'hypothèse ne fait pas l'unanimité chez les tintinophiles.

                               L’âge du capitaine ?


 
Boulogne-Billancourt, il y a  la plaque de rue ci-dessus
: Officier français, né en 1857, mort en 1871.

Ça lui faisait combien au militaire quand il a cassé sa pipe ? 14 ans.

« Oups, 14 ans ????? Mais comment peut-on être officier à l’âge de 14 ans ? » Voila la question que je me suis posée.
Une fois la photo prise, et une fois rentrée chez moi, j’ai fait ma petite recherche sur internet.

Et j’ai trouvé que le dénommé Couchot était un « enfant de Boulogne qui, sans fortune
et chargé de famille, a contracté en 1870 un engagement volontaire dans
les bataillons de marche et est mort victime de son dévouement au champ
d’honneur de Buzenval avec le grade de capitaine
« . Ce sont les termes qu’à utilisé le conseil municipal de Boulogne dans sa décision du 14 novembre 1881 de donner le nom de Couchot à une rue de la ville
.

1ère observation : le capitaine Couchot avait si peu de fortune que seul son nom de famille est resté. Je n’ai pu retrouver son prénom nulle part sur internet.
Les résultats à mes recherches sur internet se sont limités à deux pages trouvées sur deux sites :
Premier résultat : ce lien (ou alors voir ici la capture d’image de cette page), issu du blog de Thierry Solère, 1er maire adjoint UMP de la Boulogne-Billancourt. On trouve sur son blog une catégorie « Histoire des rues de Boulogne » intéressante.

Second résultat : cet autre lien (ou alors voir ici la capture d’image de cette page) , que j’ai trouvé sur le site de François Choisel, conseiller général des Hauts de seine. On trouve sur ce site une « Histoire des rues de Boulogne » intéressante.
2ème observation : tiens, je constate que j’ai écrit deux fois qu’on pouvait trouver une « Histoire des rues » de Boulogne intéressante.

Mais qu’est-ce que ça signifie ? À première vue les contenus des deux pages sont identiques.
Eh oui, l’une est le copier-coller de l’autre. Seulement, qui a fait quoi ?

Sur le blog de Thierry Solère, à ce jour, je ne trouve aucune référence à un quelconque emprunt. En revanche, sur le site de François Choisel il est indiqué ceci en préambule à l’histoire des rues :



Les rues de Boulogne-Billancourt

1962

Ainsi donc, le véritable auteur est Eugène Couratier, auteur pour la Société Historique de Boulogne-Billancourt de plusieurs ouvrages sur cette ville.

Si François Choisel a bien indiqué l’origine des documents qu’il a mis en ligne, il semble que par l’effet d’un fâcheux oubli l’auteur véritable de cette « Histoire des rues de Boulogne » ait été omis sur le blog de Thierry Solère. Et je m’en étonne, notamment en ces temps de protection de la propriété littéraire sur internet par une loi votée majoritairement grâce aux parlementaires UMP.
Quant à la réponse à ma question « quel est l’âge du capitaine ?« , je n’en sais toujours rien. Le dénommé Couchot n’a pas laissé d’autre trace sur internet que celle de la rue qui porte son nom à Boulogne-Billancourt. Ce dont je suis sûre, c’est qu’un enfant de 13 ans ne pouvait pas contracter un engagement volontaire dans l’armée en 1870, puis mourir l’année suivante en recevant le grade de capitaine à l’âge de 14 ans.
Si quelqu’un sait sur quelle base documentaire on s’est référé pour faire inscrire les dates de 1857 et 1871 sur la plaque de rue, je suis preneuse !

 
  • Sur Google Books, j’ai vu qu’on cite le nom du Capitaine Couchot dans un ouvrage de Joanni Arsac paru en 1871 dont le titre est « Mémorial du siège de Paris« . Le livre n’est pas consultable dans son intégralité et les deux petits extraits visualisables ne sont pas exploitables, c’est dommage.
  • Le second, Gallica, qui dépend de la Bibliothèque Nationale de France (BNF), a été plus fructueux. J’ai trouvé un document en ligne, téléchargeable légalement. Ce document est le « discours prononcé par Mr Henri Martin sur la tombe des Volontaires du 72ème, Morts pour la Patrie à Buzenval« . Voici, la première page du discours où apparait le nom de Couchot.
 
 
Il ressort de cela que « l’intrépide Couchot » est mort sabre à la main en s’élançant vers la barricade ennemie lors de ce que l’Histoire retient comme la Bataille de Buzenval du 19 janvier 1871 où les français reçurent de lourdes pertes. Le lieu de cette bataille correspond à la commune de Rueil-Malmaison, située à l’ouest de Paris dans les Hauts-de-Seine.
Vous pouvez accéder à la totalité du discours, dans sa version pdf, en cliquant sur l’image. Ne vous laissez pas rebuter par les 6 pages annoncées, il y en a 3 de blanches.
J’ai trouvé un autre site grâce auquel j’ai pu télécharger le Journal du siège de Paris par un certain Georges d’Heylli en 1873-1874. Ce site s’appelle Internet Archive.
De cet ouvrage de 734 pages on trouve une ligne où apparait le nom de Couchot.