AFRODITE EN DOMINIQUE















La Dominique est une ile indépendante depuis le 3 novembre 1978 mais reste membre du Commonwealth. 
D'une superficie de 751 km2, elle est située entre la Martinique et la Guadeloupe (13 miles au sud de l'archipel des Saintes) et compte environ 75 000 habitants dont les derniers indiens Arawaks.
80% de la population parle Créole et 10% ont l'anglais comme langue maternelle (dans les villes essentiellement) .
La Dominique, ile montagneuse avec de nombreuses rivières et chutes d'eau (sources sulfureuses et lac bouillonnant), des cultures de bananes, pamplemousses, oranges et tubercules.
La cote au vent possède une végétation luxuriante exubérante et préservée
La cote sous le vent est plus aride avec mangrove et plages de sables gris.
La Dominique se tourne vers le tourisme “vert et écologique“.
le drapeau de la Dominique


Un petit morceau de Caraïbes authentiques coincé entre deux départements français!
  : la Dominique est haute (la plus haute des petites Antilles), verte (forêt tropicale, te revoilà !), bleue (et surtout multicolores de petits poissons), souriante et détendue

60 milles navigués


Lever du jour sur le port de Saint-Pierre en Martinique. Au réveil force est de constater que d’une part il pleut encore et qu'il faithumide. Les premières heures Afrodite est à l’abri de l’île. Puis soudain, au passage de la pointe Nord, on change de monde – et on passe la seconde : hop de 13 à 26 nœuds, avec un  ris dans la GV, c’est agréable aussi de faire de la voile ! Surtout quand il ne pleut plus.

Le Nord de la Martinique, sous les nuages...
 La fenêtre météo n'est pas des plus fameuses, un coup de vent force 7 est prévu voire encours, mais ici à Saint pierre il y y a 22 mètres sous la coque est on n'aime pas ça, mais du tout! : le canal entre la Martinique et la Dominique ressemble à une autoroute mais formule agitée!. Afrodite, rapidement , s’offre même le luxe de rattraper sous voiles un gros espagnol de 14m... Bon bateau ! :o) Bientôt on  lorsqu’on double le cap sud de la Dominique, le remarquable promontoire de Scott’s Head.  la capitale, Roseau apparaît.

...le Sud de la Dominique, sous le soleil !
  La Dominique est une île volcanique qui tombe à pic dans la mer, au point qu’à quelques mètres de la plage il y a déjà plus de 15m de fonds. Endroit vraiment pas propice au mouillage, mais d’innombrables coffres bordent la côte depuis le sud de la ville de Roseau jusqu’au bout de l’anse (et pas mal de pontons pour annexes, souvent dépendants de restaurants, mais a priori d’accès libre pour tous). Dès notre arrivée deux boat-boys se pressent pour nous diriger vers une bouée ... Nous préférons jeter l'ancre --> petite plongée de la skippette pour vérifier : elle est bien piochée ! Juste à côté, un énorme rocher couvert de corail abrite des petits poissons et une tortue. On va être bien ici !


 
Notre  visite à terre est  sous-marine : la côte que nous avons longée hier abrite des sites de snorkeling réputés. Nous voilà donc en route en ce premier matin vers le Sud : direction Scott’s Head. Depuis Roseau des minibus de transport collectif (le système des « aluguers » capverdiens a apparemment fait des émules jusqu’ici) sillonnent l’île, reconnaissables à leur plaque commençant par « H ». Pratiques, pas toujours très fréquents, mais très rapides (parfois trop...lancé dans la descente, celui d’aujourd’hui n’a pas eu le temps d’éviter un serpent qui traversait et qui a fait un bruit de pétard en éclatant, pour la plus grande joie des passagers et du conducteur).

La baie de Scott’s Head – au-dessus...
Le petit village de pêcheurs de Scott’s Head rassemble quelques baraques colorées le long d’une plage occupée par des barques multicolores, traditionnellement taillées d’un seul bloc dans le tronc d’un arbre local appelé « gommier ». Un isthme étroit relie à la terre un petit promontoire rocheux, qui offre à son sommet une très belle vue sur le canal et la Martinique – et à son pied sur des récifs de coraux plongeant à pic. L’eau est d’un bleu intense, les paysages sous-marins grandioses, on a l’impression de voler au-dessus de falaises vertigineuses. On n’émerge de ce paradis que vers midi, pour constater que la plage où se baignait une famille de locaux est maintenant envahie par d’autres touristes blancs avec des masques. Accompagnés d’hommes d’ici, qui proposent leurs services de guide, ou des joints, au choix. La culture « rasta » est en effet très forte ici.

La Soufrière
Bien bien, il est temps d’aller vers plus loin si on y est : la route qui relie Scott’s Head au reste de l’île longe la côte et offre un joli point de vue sur le prochain village niché dans le creux d’une vallée verdoyante, la Soufrière. Ici des sources d’eau chaude et sulfureuse trahissent une activité volcanique continue. On se balade le long des rues et d’une belle église très aérée (typiquement créole) avant de reprendre la route qui sinue maintenant dans la forêt, franchit un col et redescend au niveau de la mer
Là se trouve « Champagne Beach ». Les bulles sont offertes par Mère Nature : des petits trous sous l’eau laissent échapper des gaz soufrés et chauds. Tout le reste est aménagé par l’Homme pour le Touriste (et pas offert !) : l’accès au site est payant (2.5$US/pers) et se fait à travers un bar/restaurant/club de plongée. Le spectacle des colonnes de bulles brillant dans le soleil vaut quand même le détour. On s’amuse à essayer de les attraper. Un peu plus loin, un vieux canon espagnol et une grosse chaîne sont tellement recouverts de coraux qu’on dirait des fossiles plus que des épaves. Les fonds ici sont d’un jaune orangé uniforme sans doute dû au soufre.
Champagne Beach, baignade dans les bulles
On retourne finalement à Roseau en longeant la route à pied, à travers plusieurs petits villages  Retour aux Antilles authentiques ! Ambiance rasta-reggae-ganja, coups de klaxon dans la rue et saluts amicaux. En milieu de tout cela, des travaux impressionnants sont en cours pour agrandir la route en construisant sur la mer. Les ouvriers, tous vêtus de casques et de chaussures de protection, manient des engins qui ne feraient pas honte à des chantiers européens.

Les armes de la Dominique
Le lendemain, dimanche, nous visitons la ville de Roseau en commençant par le quartier des églises. C’est pratique, elles sont toutes dans le même coin, flanquées de leurs presbytères et autres écoles privées : l’adventiste, la baptiste, l’évangéliste, la méthodiste – et bien sûr la grande cathédrale catholique qui tient le haut du pavé sur l’avenue de la Vierge. Des gens bien habillés sortent des différents offices, quelques chants résonnent encore... le reste de la ville est entièrement désert. Le long du marché, personne, pas plus que dans les rues commerçantes. Au jardin botanique nous voyons enfin le fameux perroquet « sisserou » vert et violet, spécifique à la Dominique, qui orne le drapeau national.
De retour en ville, la rue principale est barricadée, des camionnettes encombrent les trottoirs où se pressent une foule de gens avec des badges autour du cou. Des agents de sécurité limitent les débordements : un paquebot de croisière vient de s’amarrer sur le quai. Ses passagers, principale source de revenus de l’île, sont attendus avec impatience! (d’autant que leurs escales ne durent jamais plus de 24h, il faut aller vite). Dans le tumulte nous retournons à notre bord, complètement inaperçus et ignorés des habituels rabatteurs et autres « guides ».
Le lendemain matin nous allons voir le Boiling Lake (= « Lac Bouillant », car situé dans le cratère d’un volcan qui assure un feu continu sous la marmite...). 

Vue du Parc National des Trois Pitons

La Vallée de la Désolation
Un ouragan a balayé ce parc national il y a 30 ans : seuls quelques gigantesques « fromagers » bien appuyés sur leurs grandes racines en draperies ont résisté. Les arbres qui ont repoussé (dont nombre de fougères arborescentes) ne sont pas encore aussi hauts que dans la jungle guyanaise par exemple. Parmi les autres bruits de la forêt, un chant est caractéristique ici : une série de 3 ou 4 notes longuement sifflées par un oiseau invisible (appelé « siffleur »). Au détour d’une crête, la végétation disparaît soudain ; dans la « Vallée de la Désolation », les émanations de soufre interdisent toute vie. Le paysage est fantastique, dans les tons de jaunes et gris éclatant. Des petites flaques bouillonnent un peu partout, l’odeur de soufre est omniprésente.
Le sentier divague un peu entre les rochers pour sortir de la vallée en suivant une rivière d’eau tiède qui cascade gentiment dans la forêt. On monte, on descend, on monte... et voilà, sous nos pieds, le Boiling Lake ! Effectivement, il s’agit d’un lac, dans un cratère, qui bout en permanence. Lorsqu’une rafale dissipe un peu la fumée on aperçoit de gros bouillons. C’est le plus grand (ou 2ème plus grand selon les sources ?...) lac de ce type – l’autre est en Nouvelle-Zélande. De la plateforme d’observation où nous sommes, on sent surtout le vent plus que la chaleur de l’eau et c’est transis que nous entamons le chemin du retour.
Eau bouillante
  Nous décidons de nous arrêter nous baigner dans la source chaude avant la Vallée de la Désolation,   nous voilà déjà en maillot pour un délicieux plongeon dans des "baignoires" naturelles étagées, séparées par une petite chute d’eau escaladée à l’aide de lianes qui supportent notre poids sans broncher (plus solide qu’une corde !). Des frondaisons tropicales en guise de plafond, des parois de roche lisse aux couleurs étranges pour murs... On a bien failli y rester, les muscles tout ramollis dans la douce tiédeur : les brochures touristiques avaient raison d’avertir les randonneurs, il est dangereux ce chemin ! Un effort de volonté nous tire de nos délices et nous propulse de nouveau sur les éternelles marches du sentier qui monte et qui descend... en un temps record nous sommes de retour au départ du sentier, et plongeons de nouveau dans l’eau froide, cette fois, des Titou Gorges. Une centaine de mètres à la nage entre de hautes falaises au milieu de la jungle permettent d’atteindre la chute d’eau. Nous passons juste derrière le troupeau d’Allemands du paquebot du jour ('"grüss Gott") et avons ce lieu magique pour nous tous seuls :o).


  Roseau – Portsmouth (24 M)
Les alizés sont encore annoncés forts aujourd’hui mais cela ne devrait pas trop nous gêner pour l’étape du jour consistant à rallier la capitale Roseau au Sud au mouillage principal de Portsmouth au Nord, le tout entièrement sous le vent de l’île. Effectivement cette navigation est typique d’une navigation sous le vent, alternant périodes de calme frustrant au moteur et violentes rafales dévalant les montagnes ou dégoulinant des vallées. Toute la difficulté est d’apprécier la force des rafales pour ajuster la toile au mieux, profiter de l’air pour filer sur une mer plate (l’île protège aussi de la houle), mais sans abîmer le gréement... Les derniers milles sont les plus fatigants, une lente remontée au près face à 25/30 nœuds de vent réel dans la baie de Prince Rupert, au fond de laquelle une quarantaine de bateaux sont mouillés en face de Portsmouth.
Nous nous dirigeons vers la partie nord qui semble la mieux protégée. Le temps de faire quelques tours pour sonder les fonds (principalement du sable partiellement couvert d’herbiers, mais parsemé de rochers et de débris par endroits), de poser notre pioche dans 5m entre quelques bouées et d’autres bateaux (sous le regard insistant des boat boys qui nous tournent autour depuis l’entrée de la baie), et il est 15h passées quand on déjeune. Qu’importe, on est bien au mouillage, au soleil . Les boat boys d’ici sont nombreux et rapides mais toujours courtois. Comme à Roseau ils parlent tous très bien français : la proximité des autres îles, ou la fréquentation des bateaux de passage?
En tout cas ici aussi on a l’embarras du choix entre tous les pontons à annexe, et entre les sources de wifi.

Mouillage de Portsmouth...
  escale à Portsmouth
En Dominique il faut savoir une chose : il pleut entre 5h et 9h du matin. Pas la peine de mettre le réveil plus tôt. (Et parfois il pleut aussi dans la journée, alors que le ciel est entièrement bleu :oS ).
Ce matin nous sommes en mission « courses », car il n’y a plus de fruits et légumes ni de viande à bord. On trouve quelques concombres et bananes à un petit stand au coin d’une rue, et ne nous inquiétons d’abord pas trop du reste. Il règne une ambiance de village dans cette agréable petite ville aux artères perpendiculaires bordées de petites maisons colorées. Au milieu, un grand stade rassemble tous les sports, sous les fenêtres d’une école primaire drôlement moderne. Tout au long de la plage, de grosses épaves de cargos rouillés témoignent de la violence d’une demi-douzaine d’ouragans ces 20 dernières années. Intriguées on s’approche de ces monstres drossés à la côte (tout en observant les pélicans qui pêchent alentour). Des hommes en habit de chantier sont en train de les désosser au chalumeau. Les 6 carcasses vont disparaître en quelques semaines, car c’est mauvais pour l’image touristique de la ville, on nous explique. Les ouvriers ne ressemblent pas à des gens d’ici... effectivement, ce sont des vénézuéliens ! (Tiens donc, tout cela aurait-il un rapport avec le projet de construction d’une raffinerie vénézuélienne sur l’île, repoussé pour le moment pour des raisons d’image touristique ?).
Des épaves jonchent la plage
Bon c’est pas tout ça mais on a un filet à provisions à remplir ! Le drame c’est que d’innombrables manguiers bordent les routes et ploient sous le poids de fruits... pas mûrs ! ici ce n’est pas encore la saison des mangues ! Les poules picorent tout de même dans les caniveaux, des mangues vertes  reverrons-nous des mangues avant le retour aux contrées polaires ? Finalement on se décide à faire quelques kms de plus pour le choix d’un grand supermarché en bordure de ville.

Le fort gardait l’entrée de la baie de Portsmouth
Le temps de rentrer au bateau préparer quelques sandwiches, et hop nous sommes à l’entrée de le réserve naturelle de la pointe Cabrits, au Nord de la baie. Le lieu a été utilisé comme place forte par les Anglais, puis les Français, puis les Anglais de nouveau (il s’agit d’un de ces classiques forts qui surplombent toutes les baies de toutes ces îles au passé disputé). Le nom vient des troupeaux de chèvres que les premiers marins lâchaient en liberté à terre, afin de s’assurer de la viande fraîche la prochaine fois qu’ils reviendraient. Ce fort en particulier est très étendu, couvrant toute la pointe et ses deux sommets (deux petits volcans) – également très bien restauré et mis en valeur. Principalement construit entre la moitié du XVIIIème siècle et le début du XIXème, il n’a en fait jamais été engagé dans de vraies batailles. C’est la végétation qui a eu raison de lui, après son abandon en 1845. Le long de sentiers bien balisés, on découvre les anciens bâtiments rénovés pour partie, ainsi qu’une faune riche de lézards, petits serpents (inoffensifs, même si celui qui file entre mes pieds de  me cause une belle frayeur), colibris, bernard-l’hermite et crabes terrestres (enfin surtout leurs coquilles vides et démembrées). La vue est splendide du haut des sommets, où d’augustes canons rouillés montent encore la garde.
Ce lézard gonfle son goitre pour nous impressionner, c’est terrifiant non ?

Tous les bâtiments du fort n’ont pas été rénovés et sont la proie des figuiers maudits

Vue sur la baie Douglas au nord (beau site de snorkeling en bas à droite)
La soirée puis la nuit seront moins agréables sur le mouillage, balayé de violentes et incessantes rafales estimées à 35 – 40 nœuds. De la musique crachée à plein volume par le resto de la plage nous tient compagnie pendant un bout de temps !

La pointe Nord
Un peu moins matinals que prévu, nous nous lançons le lendemain matin à l’attaque du segment 14. Un sentier de rando a été aménagé sur toute la longueur de l’île, reliant les parcs nationaux et points d’attraction principaux en 14 tronçons d’une longueur totale de 12 jours. Très bien balisé il permet de faire de belles balades. Nous voici donc sur le dernier morceau, qui rejoint l’extrémité nord de l’île. La plus grande partie du trajet s’effectue sur la route malheureusement : plus facile certes mais moins bucolique. Même si la forêt alentour et les points de vue sur la mer ne sont pas désagréables. Puis nous arrivons le long de la côte, près d’une base de petites barques de pêche. Les balises du chemin sont maintenant apposées sur les gros rochers de la plage de galets. La progression est plus lente, on n’en profite que mieux de cette belle côte sauvage, baignée d’une eau bleue, terminée par un rocher aussi pointu que les aiguilles d’Etretat ou de Whight. Quelques noix de coco jonchent le sol, attendant d’être ramassées...
Sur le retour, on s’arrête pour une belle plongée sur le récif de la baie Douglas. De petits serpents de mer hantent les coraux (brrr) où se promènent quelques poissons-lion. 
Poisson...lion (du moins on croit...)
Ça souffle encore pas mal sur ce mouillage (très exposé aux rafales catabatiques), mais la météo est formelle, ça va mollir... il est temps de reprendre notre route vers le Nord...


ALBUM PHOTOS














































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P1312161 Ne pas confondre la Dominique et la République Dominicaine !
La Dominique plus encore que les autres îles de la Caraïbe se démarque par le fait que c’est l’île la plus montagneuse et la plus large des îles sous le vent. Les mornes abreuvent avec leur précipitation les 365 rivières de l’île et les pluies encouragent une végétation luxuriante, une forêt tropicale exubérante et préservée. Des paysages variés, avec sur la cote au vent, (est) des sources d’eaux sulfureuses, un lac bouillonnant, le deuxième plus grand au monde, une atmosphère fantastique en arrivant à la vallée de la désolation, paysage agraire dominé par de petites habitations et des cultures mélangées entre la banane, les pamplemousses, les oranges et les tubercules. La cote sous le vent est quant à elle dominée par une végétation plus sèche, des marécages et mangroves et des plages de sables gris. Les quelques plages de sables blancs se situent au nord-est de l’île, celle de Turtle bay, la plage des surfeurs où viennent pondre les tortues et celle d’Hampstead Beach, avec sa cocoteraie et ses eaux claires. Les habitants de l’île aiment à dire que si Christophe Colomb revenait, la Dominique serait la seule île qu’il reconnaîtrait ! L’accueil est l’autre point fort de la Dominique. Les gens que l’on croise sont très gentils : ils vous disent bonjour, viennent spontanément vous serrer la main et vous souhaitent la bienvenue. Ici, l’accueil chaleureux est une réalité et non une formule en l’air. La plupart des gens sont très « cool », à commencer bien sûr par les nombreux rastas qui sillonnent les rues.
  • SITUATION: trait d’union entre la martinique et la guadeloupe.
  • SUPERFICIE : 790 km² - 50 km de long et 25 km de large.
  • POINT CULMINANT : Morne Diablotin, 1447 mètres.
  • STATUT : État indépendant depuis plus de vingt ans et membre du commonwealth.
  • POPULATION : Au recensement de l’année 2004, la population dominicaise est passée à 70000 habitants. L’île comprend en majorité des afro-antillais et 3000 indiens caraïbes, seuls survivants dans le monde entier ; Ils vivent sur un territoire qui leur a été concédé en 1903 par la reine d’angleterre.
  • CAPITALE : Roseau, nom donné par les Français du temps de la colonisation ;
  • LANGUES : Anglais et créole. Ce patois est aussi proche que le créole des iles françaises. D’ailleurs les Dominicais pensent que les Français parlent le patois !
  • MONNAIE : La monnaie officielle est le EAST CARRIBBEAN DOLLAR (prononcer »ici »);1EC dollar est égal à 2.67 USD. Le USD est bien sur accepté partout mais pas l’euro .Il est donc conseillé, lors de votre passage dans les îles françaises de changer vos devises.

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